On voudrait savoir eviter La pluie Entre les gouttes se glisser Deux, trois nuages et l'on Court a l'abri On n'aime pas trop se mouiller On se dit qu
Tournent les violons Grande fete au chateau il y a bien longtemps Les belles et les beaux, nobliaux, noble sang De tout le royaume on est venu dansant
Comme un fil entre l'autre et l'un Invisible, il pose ses liens Dans les meandres des inconscients Il se promene impunement Et tout un peu tremble Et
Elle met plein de p'tits Chapeaux bizarres Elle sourit quand elle Marche dans la rue ... Aux indiens, aux livreurs, aux motards C'est pas la plus jolie
Si j'avais si j'avais ca Je serais ceci je serais cela Sans chose je n'existe pas Les regards glissent sur moi J'envie ce que les autres ont Je creve
Et partout ca mitraille 100 000 verites On jure on clame on braille Ca vient d'tous les cotes, mais c'est pas vrai Ca fait pas mal Tu n'as pas change
Ta ba dam tam da Ta ba dam tam da Ta dou dam mmh ba dou dam Ta dou dam da dam Ta dou dam da dam Ta dou dam da dam La vie c'est mieux quand on est amoureux
Geantes ces murailles baties de pierres et de sang Plus hautes que les batailles, defiant le poids des ans Aujourd'hui quatre vents feraient s'envoler
nuit de sa vie The quo's in town tonite Quand il arrive devant la salle il est midi Y a deja des gars qu'il connait Les cheveux longs, les jeans delaves
Cette lettre peut vous surprendre Mais sait-on ? peut-etre pas Quelques braises echappees des cendres D'un amour si loin deja Vous en souvenez-vous?
Sur une arme les doigts noues Pour agresser, serrer les poings Mais nos paumes sont pour aimer Y'a pas de caresse en fermant les mains Longues, jointes
Toutes les ebenes ont rendez-vous Lambeaux de nuit quand nos ombres s'eteignent Des routes m'emmenent, je ne sais ou J'avais les yeux percants avant,
On partira de nuit, l'heure ou l'on doute Que demain revienne encore Loin des villes soumises, on suivra l'autoroute Ensuite on perdra tous les nords
Apres les brumes, ou commence le ciel Ou les aigles reculent, ou manquent l'oxygene Ou les grands froids regnent meme au soleil Aux neiges eternelles
Il faudra que tu sois douce Et solitaire aussi Il te faudra gagner pouce a pouce Les oublis de la vie Oh, tu seras jamais la reine du bal Vers qui se
Et crever le silence Quand c'est a toi que je pense Je suis loin de tes mains Loin de toi, loin des tiens Mais tout ca n'a pas d'importance J'connais
Je jouerais du meme harmonica Je verrais le meme arbre la-bas Serais-je heureux sans toi ? Pourquoi pas ? Rien que d'y penser ca me glace a chaque fois
Y a des choses qu'on peut faire Et puis celles qu'on doit pas Y a tout c'qu'on doit taire Tout c'qui ne se dit pas Des vies qui nous attirent De brulures