Sangtekst: Patrick Bruel. Nunca Más.
Dignes, belles,
Elles tournent sur elles-memes,
Les rides creusees,
Les larmes n'ont pas seche
Elles dansent sans un bruit
Leurs enfants disparus
Disparus dans la nuit
Leurs enfants perdus
Sur les terres de Piazolla
Muets sont les poetes
A moins de parler bas
Mais dans le clair-obscur,
A l'heure de tous les reves
Soudain une voix s'eleve...
Nunca mas !
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar,
Bailar al viento que los desaparecio...
La sangre nunca acaba de gritar,
El viento siempre acaba por cambiar
Folles, elles dansent,
Elles ont vaincu l'oubli
Elles savent la force
Oui jamais ne les trahit
L'histoire est lente
Mais elles font tourner la tete
Ce soir, elles chantent
Les diables sont juges...
Nunca mas !
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar,
Bailar al viento que los desaparecio...
La sangre nunca acaba de gritar,
El viento siempre acaba por cambiar
Elles tournent sur elles-memes,
Les rides creusees,
Les larmes n'ont pas seche
Elles dansent sans un bruit
Leurs enfants disparus
Disparus dans la nuit
Leurs enfants perdus
Sur les terres de Piazolla
Muets sont les poetes
A moins de parler bas
Mais dans le clair-obscur,
A l'heure de tous les reves
Soudain une voix s'eleve...
Nunca mas !
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar,
Bailar al viento que los desaparecio...
La sangre nunca acaba de gritar,
El viento siempre acaba por cambiar
Folles, elles dansent,
Elles ont vaincu l'oubli
Elles savent la force
Oui jamais ne les trahit
L'histoire est lente
Mais elles font tourner la tete
Ce soir, elles chantent
Les diables sont juges...
Nunca mas !
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar,
Bailar al viento que los desaparecio...
La sangre nunca acaba de gritar,
El viento siempre acaba por cambiar
Patrick Bruel
Patrick Bruel