Sangtekst: Michel Jonasz. C'est Toi.
C'est toi. J'ai du mal a y croire. Est-ce un reve ?
T'es la devant moi ce soir. Un voile se leve
Sur les images du passe,
Un passe presque oublie.
Le premier rendez-vous un soir au cinema,
Un baiser timide echange la premiere fois
Et puis dehors une pluie fine,
Nos deux coeurs qui tambourinent.
Toutes ces annees a t'attendre,
C'etait comme le feu sous la cendre,
C'etait comme une ville endormie
La nuit,
Des nuits longues, des nuits blanches,
Des nuits tristes en avalanche
Et le manque d'amour qui grandit
La nuit, la nuit, la nuit...
C'est toi et tout recommence, tout s'efface.
Ne parlons plus de l'absence. Reprends ta place.
Non n'aie pas peur. Y'a personne.
Aucune autre, jamais personne.
Viens. Raconte-moi tes voyages, mon infidele.
C'est toi toujours la meme ou peut-etre encore plus belle.
C'est drole : dehors, la pluie fine,
Nos deux coeurs qui tambourinent.
Toutes ces annees a t'attendre,
C'etait comme le feu sous la cendre,
C'etait comme une ville endormie
La nuit,
Des nuits longues, des nuits blanches,
Des nuits tristes en avalanche
Et le manque d'amour qui grandit
La nuit.
Des nuits longues, des nuits blanches,
Des nuits tristes en avalanche
Et le manque d'amour qui grandit,
Le besoin d'amour qui grandit.
Toutes ces annees a t'attendre,
C'etait comme le feu sous la cendre,
C'etait comme une ville endormie
La nuit.
C'etait rien, nul, c'etait vide.
C'etait comme un desert aride.
Tu pleures, mais tout ca, c'est fini.
T'es la devant moi ce soir. Un voile se leve
Sur les images du passe,
Un passe presque oublie.
Le premier rendez-vous un soir au cinema,
Un baiser timide echange la premiere fois
Et puis dehors une pluie fine,
Nos deux coeurs qui tambourinent.
Toutes ces annees a t'attendre,
C'etait comme le feu sous la cendre,
C'etait comme une ville endormie
La nuit,
Des nuits longues, des nuits blanches,
Des nuits tristes en avalanche
Et le manque d'amour qui grandit
La nuit, la nuit, la nuit...
C'est toi et tout recommence, tout s'efface.
Ne parlons plus de l'absence. Reprends ta place.
Non n'aie pas peur. Y'a personne.
Aucune autre, jamais personne.
Viens. Raconte-moi tes voyages, mon infidele.
C'est toi toujours la meme ou peut-etre encore plus belle.
C'est drole : dehors, la pluie fine,
Nos deux coeurs qui tambourinent.
Toutes ces annees a t'attendre,
C'etait comme le feu sous la cendre,
C'etait comme une ville endormie
La nuit,
Des nuits longues, des nuits blanches,
Des nuits tristes en avalanche
Et le manque d'amour qui grandit
La nuit.
Des nuits longues, des nuits blanches,
Des nuits tristes en avalanche
Et le manque d'amour qui grandit,
Le besoin d'amour qui grandit.
Toutes ces annees a t'attendre,
C'etait comme le feu sous la cendre,
C'etait comme une ville endormie
La nuit.
C'etait rien, nul, c'etait vide.
C'etait comme un desert aride.
Tu pleures, mais tout ca, c'est fini.
Jonasz, Michel
Jonasz, Michel
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