Sangtekst: Gilbert Bécaud. Gilbert Bécaud A l'Olympia. C'était Mon Copain.
:
J'avais un seul ami
Et on me l'a tue
Il etait plus que lui
Il etait un peu moi
Je crois qu'en le tuant
On m'a aussi tue
Et je pleure la nuit
Mais on ne le sait pas
C'etait mon copain
C'etait mon ami
Pauvre vieux copain
De mon humble pays
Je revois son visage
Au regard genereux
Nous avions le meme age
Et nous etions heureux
Ami, mon pauvre ami
Reverrai-je jamais
Ton sourire gentil
Parmi l'immensite ?
C'etait mon copain
C'etait mon ami
J'ecoute la ballade
De la Mort, de la Vie
Le vent de la frontiere
Veut consoler mes pleurs
Mais l'eau de la riviere
A d'etranges couleurs
Cependant dans les bois
Un mysterieux concert
M'a dit qu'il faut garder
L'espoir a tout jamais
Car ceux qui ont bati
Ensemble un univers
Se retrouveront tous
Puisqu'ils l'ont merite
O mon vieux camarade
Mon copain, mon ami
Parmi les terres froides
Je te parle la nuit
Et ton pesant silence
Est un mal si cruel
Que j'entends ta presence
Parfois au fond du ciel
J'avais un seul ami
Et on me l'a tue
Il etait plus que lui
Il etait un peu moi
Je crois qu'en le tuant
On m'a aussi tue
Et je pleure la nuit
Mais on ne le sait pas
C'etait mon copain
C'etait mon ami
Pauvre vieux copain
De mon humble pays
Je revois son visage
Au regard genereux
Nous avions le meme age
Et nous etions heureux
Ami, mon pauvre ami
Reverrai-je jamais
Ton sourire gentil
Parmi l'immensite ?
C'etait mon copain
C'etait mon ami
J'ecoute la ballade
De la Mort, de la Vie
Le vent de la frontiere
Veut consoler mes pleurs
Mais l'eau de la riviere
A d'etranges couleurs
Cependant dans les bois
Un mysterieux concert
M'a dit qu'il faut garder
L'espoir a tout jamais
Car ceux qui ont bati
Ensemble un univers
Se retrouveront tous
Puisqu'ils l'ont merite
O mon vieux camarade
Mon copain, mon ami
Parmi les terres froides
Je te parle la nuit
Et ton pesant silence
Est un mal si cruel
Que j'entends ta presence
Parfois au fond du ciel
Gilbert Bécaud
Ami
Gilbert Bécaud