Sangtekst: Gilbert Bécaud. 100 Chansons D'Or. Hermano.
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Hermano, toi qui fus mon frere
Toi de Madrid, te souviens-tu
De nos soirs extraordinaires
Lorsque Madrid nous offrait ses rues
De lourdes portes aux marteaux d'argent
S'ouvraient pour nous
Leur vaste monde ecrase de chants
Et de danses
Et de vins de Valence
Hermano toi qui fus mon frere
Toi de Madrid, te souviens-tu
Je la revois belle et lontaine
Dans ce flamenco dechire
Qu'un guitariste madrilene
Jouait de ses mains decharnees
Je la revois dans la taverne Habillee de robe de sang
Sous le soleil d'une lanterne
Dechainee comme un ouragan
Toi tu la regardais
Un poignard dans le coeur
Quand je l'ai emmenee
Je la revois belle et lointaine
Habillee de robe de sang
Sous le soleil d'une lanterne
Moi je la regardais
Une fleur dans le coeur
Quand je l'ai emmenee
Je n'ai pas vu
Que tu en pleurais
Je n'ai pas vu
Que tu en mourais
Hermano, toi qui fus mon frere
Toi de Madrid
Pardon
(Merci a Danielle pour cettes paroles)
Hermano, toi qui fus mon frere
Toi de Madrid, te souviens-tu
De nos soirs extraordinaires
Lorsque Madrid nous offrait ses rues
De lourdes portes aux marteaux d'argent
S'ouvraient pour nous
Leur vaste monde ecrase de chants
Et de danses
Et de vins de Valence
Hermano toi qui fus mon frere
Toi de Madrid, te souviens-tu
Je la revois belle et lontaine
Dans ce flamenco dechire
Qu'un guitariste madrilene
Jouait de ses mains decharnees
Je la revois dans la taverne Habillee de robe de sang
Sous le soleil d'une lanterne
Dechainee comme un ouragan
Toi tu la regardais
Un poignard dans le coeur
Quand je l'ai emmenee
Je la revois belle et lointaine
Habillee de robe de sang
Sous le soleil d'une lanterne
Moi je la regardais
Une fleur dans le coeur
Quand je l'ai emmenee
Je n'ai pas vu
Que tu en pleurais
Je n'ai pas vu
Que tu en mourais
Hermano, toi qui fus mon frere
Toi de Madrid
Pardon
(Merci a Danielle pour cettes paroles)
Gilbert Bécaud
100 Chansons D'Or
Gilbert Bécaud