Sangtekst: Francis Cabrel. 77-87. Je L'aime à Mourir.
:
Moi je n'etais rien,
Mais voila qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits,
Je l'aime a mourir.
Vous pouvez detruire
Tout ce qu'il vous plaira,
Elle n'aura qu'a ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire,
Pour tout reconstruire.
Je l'aime a mourir.
Elle a gomme les chiffres
Des horloges du quartier,
Elle a fait de ma vie
Des cocottes en papier,
Des eclats de rires.
Elle a bati des ponts
Entre nous et le ciel,
Et nous les traversons
A chaque fois qu'elle
Ne veut pas dormir,
Ne veut pas dormir.
Je l'aime a mourir.
Elle a du faire toutes les guerres,
Pour etre si forte aujourd'hui,
Elle a du faire toutes les guerres,
De la vie, et l'amour aussi.
Elle vit de son mieux
Son reve d'opaline,
Elle danse au milieu
des forets qu'elle dessine,
Je l'aime a mourir.
Elle porte des rubans
qu'elle laisse s'envoler,
Elle me chante souvent
que j'ai tort d'essayer
De les retenir,
De les retenir,
Je l'aime a mourir.
Pour monter dans sa grotte
Cachee sous les toits,
Je dois clouer des notes
A ses sabots de bois,
Je l'aime a mourir.
Je dois juste m'asseoir,
Je ne dois pas parler,
Je ne dois rien vouloir,
Je dois juste essayer
De lui appartenir,
De lui appartenir,
Je l'aime a mourir.
Moi je n'etais rien,
Mais voila qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits,
Je l'aime a mourir.
Vous pouvez detruire
Tout ce qu'il vous plaira,
Elle n'aura qu'a ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire,
Pour tout reconstruire.
Je l'aime a mourir.
Elle a gomme les chiffres
Des horloges du quartier,
Elle a fait de ma vie
Des cocottes en papier,
Des eclats de rires.
Elle a bati des ponts
Entre nous et le ciel,
Et nous les traversons
A chaque fois qu'elle
Ne veut pas dormir,
Ne veut pas dormir.
Je l'aime a mourir.
Elle a du faire toutes les guerres,
Pour etre si forte aujourd'hui,
Elle a du faire toutes les guerres,
De la vie, et l'amour aussi.
Elle vit de son mieux
Son reve d'opaline,
Elle danse au milieu
des forets qu'elle dessine,
Je l'aime a mourir.
Elle porte des rubans
qu'elle laisse s'envoler,
Elle me chante souvent
que j'ai tort d'essayer
De les retenir,
De les retenir,
Je l'aime a mourir.
Pour monter dans sa grotte
Cachee sous les toits,
Je dois clouer des notes
A ses sabots de bois,
Je l'aime a mourir.
Je dois juste m'asseoir,
Je ne dois pas parler,
Je ne dois rien vouloir,
Je dois juste essayer
De lui appartenir,
De lui appartenir,
Je l'aime a mourir.
Francis Cabrel
Cabrel Public
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