Sangtekst: Elodie Frégé. Apparemment.
C?est la, ca me reprend
A la gorge et dedans
J?abrege et tourne au quart
Quitter, plus tot je pars
J?oscille et ploie sous l?autre
Saoule, aux trousses, mon apotre
Apparemment, il prend son temps
C?est la, ca me retame
Au creux, mon moindre drame
Ne viens pas ou je flanche
J?empourpre ma peau blanche
Grisee du mal permis
La chute s?acheve ici
Apparemment, il y a du vent
Apparemment
Serai-je tout cela
L?egerie, la madone
Saurais-je suffire a lui
En somme
C?est la, ca me surprend
Aux quatre coins des gens
Ca reluque et racole
Ma quietude qui s?etiole
Sous les tambours pulsant
La marche sans les armements
Apparemment, il y a des rangs
Apparemment
Serai-je tout cela
L?egerie, la madone
Saurais-je suffire a lui
En somme
Serai-je celle la
Le defaut, de la donne
Sourire ne suffira pas
En somme.
En somme?
Apparemment, tu m'aimes tant
Tu m'aimais tant
Serai-je tout cela
L?egerie, la madone
Saurais-je suffire a lui
En somme
Ca y est, tout me revient
Sous la pluie tout deteint
Decidement, l'apparat ment
En somme
(Merci a Romain Poulpe pour cettes paroles)
A la gorge et dedans
J?abrege et tourne au quart
Quitter, plus tot je pars
J?oscille et ploie sous l?autre
Saoule, aux trousses, mon apotre
Apparemment, il prend son temps
C?est la, ca me retame
Au creux, mon moindre drame
Ne viens pas ou je flanche
J?empourpre ma peau blanche
Grisee du mal permis
La chute s?acheve ici
Apparemment, il y a du vent
Apparemment
Serai-je tout cela
L?egerie, la madone
Saurais-je suffire a lui
En somme
C?est la, ca me surprend
Aux quatre coins des gens
Ca reluque et racole
Ma quietude qui s?etiole
Sous les tambours pulsant
La marche sans les armements
Apparemment, il y a des rangs
Apparemment
Serai-je tout cela
L?egerie, la madone
Saurais-je suffire a lui
En somme
Serai-je celle la
Le defaut, de la donne
Sourire ne suffira pas
En somme.
En somme?
Apparemment, tu m'aimes tant
Tu m'aimais tant
Serai-je tout cela
L?egerie, la madone
Saurais-je suffire a lui
En somme
Ca y est, tout me revient
Sous la pluie tout deteint
Decidement, l'apparat ment
En somme
(Merci a Romain Poulpe pour cettes paroles)