Sangtekst: Debout Sur Le Zinc. Dialogue De Sourds.
(Simon Mimoun/DSLZ)
Un jour devisaient gaiement deux jeunes amants
A la vie toute aussi belle qu'un vieux greement
Aussi legere qu'un nuage, aussi frele dans l'orage,
Ce n'est pas le moindre de ces desagrements.
« Quand pourrai-je enfin savoir si tu m'aimes vraiment ?
Quand pourrai-je enfin savoir si tu m'aimes vraiment ? »
Cette petite question vois-tu, me parait bien saugrenue,
Me parait bien mal venue quand on a vingt ans !
Cette question je me la suis posee des annees
Pour une catin, pour une belle, pour une fille bien nee,
Mais jamais au grand jamais, la reponse n'a satisfait
Cet enorme calembour qu'on appelle l'amour.
Et si par malheur un jour, quelqu'un me repond
En croyant avoir compris ma jolie question,
A cette heure je verrai fondre, tout comme un nuage sombre,
Cette aimable plaisanterie qu'on appelle la vie.
Le langage que tu tiens est desesperant
Et le film d'ou il vient doit etre navrant,
Mais si j'ai envie d'y croire, toute seule dans le noir,
Je ne pense pas que tu puisses m'en empecher.
Un jour devisaient gaiement deux jeunes amants
A la vie toute aussi belle qu'un vieux greement
Aussi legere qu'un nuage, aussi frele dans l'orage,
Ce n'est pas le moindre de ces desagrements.
« Quand pourrai-je enfin savoir si tu m'aimes vraiment ?
Quand pourrai-je enfin savoir si tu m'aimes vraiment ? »
Cette petite question vois-tu, me parait bien saugrenue,
Me parait bien mal venue quand on a vingt ans !
Cette question je me la suis posee des annees
Pour une catin, pour une belle, pour une fille bien nee,
Mais jamais au grand jamais, la reponse n'a satisfait
Cet enorme calembour qu'on appelle l'amour.
Et si par malheur un jour, quelqu'un me repond
En croyant avoir compris ma jolie question,
A cette heure je verrai fondre, tout comme un nuage sombre,
Cette aimable plaisanterie qu'on appelle la vie.
Le langage que tu tiens est desesperant
Et le film d'ou il vient doit etre navrant,
Mais si j'ai envie d'y croire, toute seule dans le noir,
Je ne pense pas que tu puisses m'en empecher.