Sangtekst: Damien Saez. Il Y A Ton Sourire.
Il y a ton sourire qui s'eleve,
c'est comme une lueur d'espoir,
Il y a l'ombre et la lumiere,
au milieu, notre trajectoire.
Il fallait choisir une route,
alors on a choisit la pluie,
acide a s'en bruler le coeur,
pourvu que planent les esprits.
il y a tes yeux qui me tuent,
quand tu me dit que c'est fini.
il y a le vent de nos sanglots qui soufflent pour une amnistie.
Mais rien n'arretera la lutte,
non rien n'assechera cette pluie,
non rien ne finira la chute,
rien ne finit l'infini...
rien ne deserrera nos mains,
rien n'eteindra l'ephemere.
nous forcerons, nous forcerons le destin.
et puis nous percerons les mysteres.
il y a les lois de l'empire,
et les trous noirs dans ma memoire.
il y a le meilleur et puis le pire,
au milieu notre trajectoire.
combien tu vends ta liberte?
dis, combien tu vends ta poesie?
moi j'ai meme vendu mon ame au diable,
pour ton sourire...
puisque tout est aleatoire,
dans le chaos des univers,
et puisqu'insoluble est la reponse,
et puisque deja me manque l'air.
mais qu'importe les directions jusqu'au dela de la limite,
tous les chemins menent a tes yeux,
tous les chemins menent a la fuite...
rien ne deserrera nos mains,
rien n'eteindra l'ephemere,
nous forcerons nos destins,
nous percerons les mysteres.
rien ne deserrera ces poings,
l'univers, l'univers...
nous retrouverons nos chemins.
nos idees, et l'univers.
il y a ton sourire qui s'eleve,
c'est comme une lueur d'espoir,
il y a l'ombre et la lumiere,
au mileu notre trajectoire.
oui, il fallait choisir une route,
alors on a choisit les pluies,
acides a s'en bruler le coeur,
pourvu que planent nos esprits.
(Merci a lise pour cettes paroles)
c'est comme une lueur d'espoir,
Il y a l'ombre et la lumiere,
au milieu, notre trajectoire.
Il fallait choisir une route,
alors on a choisit la pluie,
acide a s'en bruler le coeur,
pourvu que planent les esprits.
il y a tes yeux qui me tuent,
quand tu me dit que c'est fini.
il y a le vent de nos sanglots qui soufflent pour une amnistie.
Mais rien n'arretera la lutte,
non rien n'assechera cette pluie,
non rien ne finira la chute,
rien ne finit l'infini...
rien ne deserrera nos mains,
rien n'eteindra l'ephemere.
nous forcerons, nous forcerons le destin.
et puis nous percerons les mysteres.
il y a les lois de l'empire,
et les trous noirs dans ma memoire.
il y a le meilleur et puis le pire,
au milieu notre trajectoire.
combien tu vends ta liberte?
dis, combien tu vends ta poesie?
moi j'ai meme vendu mon ame au diable,
pour ton sourire...
puisque tout est aleatoire,
dans le chaos des univers,
et puisqu'insoluble est la reponse,
et puisque deja me manque l'air.
mais qu'importe les directions jusqu'au dela de la limite,
tous les chemins menent a tes yeux,
tous les chemins menent a la fuite...
rien ne deserrera nos mains,
rien n'eteindra l'ephemere,
nous forcerons nos destins,
nous percerons les mysteres.
rien ne deserrera ces poings,
l'univers, l'univers...
nous retrouverons nos chemins.
nos idees, et l'univers.
il y a ton sourire qui s'eleve,
c'est comme une lueur d'espoir,
il y a l'ombre et la lumiere,
au mileu notre trajectoire.
oui, il fallait choisir une route,
alors on a choisit les pluies,
acides a s'en bruler le coeur,
pourvu que planent nos esprits.
(Merci a lise pour cettes paroles)
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