Sangtekst: Dalida. Et Puis ... C'est Toi.
Comme un oiseau blesse
qui ne sait plus chanter
Comme une corde de guitare qui vient de se briser
Comme un soleil qui meurt en plein coeur de juillet
Comme une ombre qui pleure sans savoir ou aller
Comme un jour ou l'espoir n'est plus qu'un souvenir
Comme un jeu de miroir d'ou l'on ne peut sortir
Comme une fleur arrachee par le vent et la pluie
Comme une heure arretee au cadran d'une vie
Et puis c'est toi
Toi qui ne sauras rien de tout cela
Tu es venu, avec de l'amour jusqu'au bout des doigts
Je tends les bras, tu viens
Et je m'etonne a chaque fois, mon amour
Comme un hiver sans fin qui n'attend plus l'ete
Comme l'image d'un matin que l'on ne peut oublier
Comme la voix du silence qui vient nous crucifier
Comme un soir ou l'absence est trop lourde a porter
Comme un chemin de pierres qui mene a la derive
Au milieu de la mer ou nul ne peut nous suivre
Quand le courant nous tire le hasard nous retient
On s'eveille en delires du sable dans le main
Et puis c'est toi
Toi qui ne sauras rien de tous cela
Tu es venu, avec de l'amour jusqu'au bout des doigts
Je tends les bras, tu viens
Et je m'etonne a chaque fois, mon amour
Et puis c'est toi
Toi qui ne sauras rien de tous cela
Tu es venu, avec de l'amour jusqu'au bout des doigts
Je tends les bras, tu viens
Et je m'etonne a chaque fois
mon amour.
qui ne sait plus chanter
Comme une corde de guitare qui vient de se briser
Comme un soleil qui meurt en plein coeur de juillet
Comme une ombre qui pleure sans savoir ou aller
Comme un jour ou l'espoir n'est plus qu'un souvenir
Comme un jeu de miroir d'ou l'on ne peut sortir
Comme une fleur arrachee par le vent et la pluie
Comme une heure arretee au cadran d'une vie
Et puis c'est toi
Toi qui ne sauras rien de tout cela
Tu es venu, avec de l'amour jusqu'au bout des doigts
Je tends les bras, tu viens
Et je m'etonne a chaque fois, mon amour
Comme un hiver sans fin qui n'attend plus l'ete
Comme l'image d'un matin que l'on ne peut oublier
Comme la voix du silence qui vient nous crucifier
Comme un soir ou l'absence est trop lourde a porter
Comme un chemin de pierres qui mene a la derive
Au milieu de la mer ou nul ne peut nous suivre
Quand le courant nous tire le hasard nous retient
On s'eveille en delires du sable dans le main
Et puis c'est toi
Toi qui ne sauras rien de tous cela
Tu es venu, avec de l'amour jusqu'au bout des doigts
Je tends les bras, tu viens
Et je m'etonne a chaque fois, mon amour
Et puis c'est toi
Toi qui ne sauras rien de tous cela
Tu es venu, avec de l'amour jusqu'au bout des doigts
Je tends les bras, tu viens
Et je m'etonne a chaque fois
mon amour.
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